Astaffort s’est récemment métamorphosé en une véritable galerie d’art numérique, permettant aux visiteurs de s’immerger dans un voyage sensoriel exceptionnel. Des artistes tels que Sébastien Boudit, Christophe Lustri et François Drolet ont su captiver les spectateurs avec des œuvres alliant technologie et créativité. Cet article vous plonge au cœur de cette expérience inédite qui a permis de réinventer l’interaction entre le public et l’art.
Les artistes et leurs créations
Les œuvres exposées témoignent d’une diversité artistique qui a su séduire un public varié. Sébastien Boudit donne vie à des liteaux de bois, mêlant art traditionnel et technologies modernes. Son approche unique permet de redécouvrir ce matériau sous un nouvel angle, offrant une vision originale de l’espace artistique.
Christophe Lustri, quant à lui, utilise l’outil informatique pour créer et recréer un univers visuel bouillonnant. Ses installations graphiques, riches en couleurs et en détails, transportent les spectateurs dans un monde où le numérique et la créativité se rencontrent de manière fluide. Grâce à son savoir-faire, il réussit à rendre chaque œuvre interactive et engageante.
Enfin, François Drolet propose une invitation à explorer des territoires inconnus, conjuguant image et son de manière inédite. Ses créations audio-visuelles éveillent des émotions chez les spectateurs, allant de la nostalgie à l’émerveillement, en passant par la surprise. Avec lui, l’art devient un véritable voyage immersif.
Une expérience immersive à la Music’Halle
Transformée en véritable galerie d’exposition, la Music’Halle a accueilli cet événement innovant. Après plusieurs jours de préparation, des centaines de visiteurs ont eu l’opportunité de découvrir cette installation immersive. Les utilisations de la lumière et du son ont été soigneusement orchestrées pour créer une atmosphère propice au rêve et à la réflexion.
Ce parcours artistique a également intégré des vidéos en boucle qui, à travers des collages numériques, offraient une dimension zen, tout en proposant des moments plus explosifs qui anime l’espace. Les visiteurs, surpris par cette approche différente de l’art, ont pu apprécier les contrastes et la variété des installations.
L’impact sur le public
De nombreux enfants ont participé à cette exposition, devenant les témoins fascinés de cet univers numérique. Leur réaction a été un mix d’émerveillement et de crainte face à certaines œuvres, notamment celles générant des bruits saisissants. Toutefois, ils ont également été impressionnés par des moments de calme, tel que le son apaisant d’une rivière, créant une expérience multisensorielle enrichissante.
Des groupes scolaires ont également pris part à cette découverte, permettant aux jeunes esprits d’explorer des horizons artistiques encore peu connus d’eux. Les réflexions et les impressions de ces jeunes visiteurs ont souligné l’importance d’initier les plus jeunes à l’art numérique afin de stimuler leurs imaginations et leurs émotions.
Une initiative louable
Cette initiative, portée par les membres de l’Association On n’est pas sorti de l’auberge, a permis d’injecter une nouvelle vie dans l’art numérique à Astaffort. En quittant leur lieu habituel, l’Abattoir, pour cette exposition, ils ont prouvé que l’art peut prendre des formes diverses et surprenantes. On espère déjà un retour l’année prochaine, avec peut-être une version extérieure de ces activités captivantes, pour toucher encore plus de personnes.
Les événements à venir à Astaffort
Pour ceux qui souhaitent rester connectés à l’univers numérique d’Astaffort, plusieurs événements se profilent à l’horizon. Prenez note : à partir du samedi 14 décembre, le marché de plein vent accueillera la vente du calendrier de l’ADPA, une occasion pour soutenir la défense du patrimoine local. Par ailleurs, le dimanche 15 décembre, de 10h à 17h, la Music’Halle sera le théâtre de Asta’Noelle, une initiative symbolique, orchestrée en collaboration avec l’UCAPIA et l’école Sainte Geneviève.
Sébastien Boudit, ou l’art de faire vivre des liteaux de bois….Christophe Lustri, cet infographe d’origine qui maintenant grâce à l’outil informatique, créer et recréer sans cesse son univers d’images… et François Drolet, nous emmène dans des espaces inconnus tant avec l’image qu’avec les sons.
Voilà ce que ces 3 artistes nous ont fait découvrir dans la Music’Halle ces jours passés. Après plusieurs jours de préparation et de mise en place de ces tableaux éphémères, plusieurs centaines de personnes ont déambulé au sein de la Music’Halle, transformée pour l’occasion en galerie d’exposition. Beaucoup ont été surpris de vivre ces moments différemment. Sur la scène, cette expérience immersive dans une installation volumétrique interactive. Dans les loges, ces vidéos faites de collages numériques en boucle, un temps très zen et d’autres explosifs. Un quiz complètement décalé dans une ambiance de cinéma où il est difficile de s’y retrouver… Des visites à cette exposition où les enfants des écoles ne sont pas restés insensibles, certains ayant ressenti une certaine peur avec ces bruits sonores émis volontairement par la sonorisation, mais très ébahis de voir ce que peu apporter comme calme l’écoulement de cette rivière… Et cette suspension qui a laissé l’imaginaire faire son travail dans les cerveaux de ce jeune public. Oui, bravo pour cette belle initiative de la part des membres de l’Association On n’est pas sorti de l’auberge, qui ont quitté leur lieu habituel qu’est l’Abattoir pour ce moment merveilleux… On espère un bis pour la prochaine année et pourquoi pas en extérieur…
En bref…
À partir du samedi 14 décembre, sur le marché de plein vent, Vente du calendrier de l’ADPA, Association de Défense du Patrimoine d’Astaffort.
Dimanche 15 décembre de 10h à 17h, à la Music’Halle, Asta’Noelle, organisé par l’UCAPIA, l’école Sainte Geneviève et l’association des parents d’élèves de l’école publique.
FAQ
Quels artistes ont participé à l’exposition de la Music’Halle ?
L’exposition met en avant les œuvres de Sébastien Boudit, Christophe Lustri et François Drolet qui explorent la technologie à travers le bois, le design graphique et des installations sonores innovantes.
Quelles sont les principales installations proposées lors de cette exposition ?
Les visiteurs ont pu découvrir une installation volumétrique interactive, des collages numériques en boucle, ainsi qu’un quiz immersif, tous conçus pour créer une atmosphère unique et engageante.
Comment l’exposition a-t-elle été perçue par les enfants ?
Les enfants ont eu des réactions variées, allant de l’émerveillement face à certaines œuvres à un certain malaise causé par des sons spécifiques, mais tous ont été impressionnés par la beauté du calme de l’écoulement de l’eau.
Quelles initiatives ont été prises pour organiser cet événement ?
Cette belle initiative a été orchestrée par l’Association On n’est pas sorti de l’auberge, qui a transformé temporairement la Music’Halle en une galerie d’exposition après avoir quitté leur lieu habituel, l’Abattoir.
Y aura-t-il d’autres événements similaires à l’avenir ?
Il est espéré que cet événement ait un bis l’année prochaine, avec la possibilité d’organiser de telles expositions en extérieur, offrant ainsi une expérience encore plus enrichissante aux visiteurs.